LISTE DES ARTICLES PARUS DANS LA PRESSE ET
SUR LES BLOGS
Jacques Lemarchand, « Journal
1942-1944 – Et quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, on ne peut que passer pour un
lâche et pour un salaud », édition établie, introduite et annotée par
Véronique Hoffmann-Martinot avec le concours de Guillaume Louet, Editions
Claire Paulhan, 2012
« Un écrivain très
occupé » par Delfeil de Ton in Le
Nouvel Observateur, 3 décembre 2012
« Aubaine pour l’amateur de
littérature et l’amateur d’histoire, voici qu’on publie le Journal de Jacques Lemarchand… »
« Pendant ce temps dans
Paris occupé : Les louvoiements de Jacques Lemarchand, auteur et éditeur,
dans le milieu littéraire » par Vincent Wackenheim in Le Monde des Livres, 6 décembre 2012
« … une rédaction d’une
précision millimétrée sur la vie d’un critique parisien proche des milieux
littéraires de la collaboration…une recherche rocambolesque… un destin pris
dans la valse-hésitation de La NRF des
années noires… »
« Un beau
salaud ? » par Stéphane Guégan, 23 décembre 2012 sur Moderne
« … l’amour des faits et du style nerveux le détourne de la rhétorique
comme du narcissisme… Parce que
déguiser lui semble une faute de goût, il nous livre ainsi un des tableaux les
plus justes de l’époque, en son ambiguïté fondamentale. »
« Il ne s’agit pas
d’autofiction… Lemarchand ne triche pas avec son reflet… et tutoie avec audace
la modernité… »
« Journaux » par Corinne Amar, Florilettres, n°140, Décembre 2012, p.17
« … Ce Journal indécis commencé un jeudi 1er
janvier 1942, et dont les éditions Claire Paulhan, à l’empathie généreuse et
contagieuse, publient le premier tome, prendra fin trente ans plus tard, à la
mort de Jacques Lemarchand (1908-1974). »
« Journal en public :
L’intellectuel Jacques Lemarchand durant l’Occupation » par Maurice Nadeau
in La Quinzaine littéraire, 15
janvier 2013
« … Un volumineux et
singulier Journal, en ce qu’en fait
d’intimité, son auteur en bannit toute préoccupation littéraire… »
« Jacques
Lemarchand » par Eric des Garets in Le
Festin, n°85, Printemps 2013
« … Pas l’once d’une
littérature. A lire ces lignes sèches, sans pathos, on éprouve un sentiment
étrange, celui de suivre un être égaré dans la lassitude de sa vie… »
« Jacques Lemarchand, un homme très
occupé » par Judith Brouste in Art-Press,
n° 398, mars 2013
« Il faut lire ces deux livres [le Journal
et Geneviève] qui s’éclairent l’un
l’autre … »
Emission d’Olivier Barrot « Un livre,
un jour » sur France 3, 19 mars 2013
« Spectateur nocturne d’une
époque glauque de menaces et d’angoisse, Jacques
Lemarchand nous livre un témoignage sur la France
littéraire à l’heure de la Collaboration. »
« Secrets intimes du Journal de Jacques Lemarchand» par
Olivier CARIGUEL in La Revue des Deux
Mondes, avril 2013
« Lemarchand a des élans
dionysiaques de mâle fauché qui donnent à son Journal une dimension comique inattendue. »
« Jacques Lemarchand, un témoin des
années noires » par Philippe d’Hugues in La Nouvelle Revue d’Histoire,
n°66, mai-juin 2013
« De La Gerbe à Combat, tel est
l’itinéraire singulier… document historique d’une importance capitale sur une
période sans cesse redécouverte, qui chaque fois oblige à corriger bien des
idées reçues comme définitives. Avec ce Journal, voici encore du nouveau, très
inattendu. »
« Jacques
Lemarchand, Journal 1942-1944 » par Martyn Cornick (Université de
Birmingham) in La Revue des revues, n°50, Automne 2013, pp.105-109
« Pour ceux qui
s’intéressent à l’histoire culturelle des deux années les plus sombres de
l’Occupation, et surtout aux circonstances entourant le sabordage de La
Nouvelle revue française […], ce livre se
présente désormais au chercheur comme une source-clé. […] »
« Journal 1942-1944 de Jacques
Lemarchand » par Pierre-Frédéric Charpentier in La revue ADEN, « La
plume contre le fascisme », n°12, octobre 2013, pp. 279-280
« […] C’est donc de l’intérieur que le
récit de Lemarchand enregistre la fin d’un court demi-siècle d’histoire
intellectuelle française […]. Dense, riche et cependant inégal, le Journal de
Jacques Lemarchand offre un éclairage nouveau sur un moment crucial – et au
demeurant mal connu – de la vie littéraire française entre deux époques. »
CAHIERS OCTAVE MIRBEAU, n° 21, mars 2014 :
compte-rendu de lecture de Maxime Benoît-Jeannin
« Pourquoi
publier çà ? » par Claire
Paulhan in COMMENTAIRE, mars 2014
« Ne serait-ce que pour ce dernier point d’histoire littéraire autour de
la fin de La NRF de Drieu La Rochelle
– que le Journal de Jacques
Lemarchand permet de déplier heure après heure – j’étais convaincue qu’il
fallait éditer ce livre. […] Pour
compléter les multiples descriptions de la vie quotidienne sous l’Occupation,
il me semble important de publier aussi des textes comme celui-ci : non
mis en scène comme un récit héroïque et légendaire, mais à la frontière entre
littérature et histoire, non censurés après-guerre, non réécrits à l’heure où
tous les autres témoins seraient morts. […] C’est pour ce même motif de véracité historique que j’ai tenu à publier
l’intégralité de ces années d’Occupation, sans la moindre censure ni coupe. […] »