Après cinquante-huit numéros clandestins, Combat paraît le 21 août 1944, orné d’une manchette « De la Résistance à la Révolution ». A la mi-novembre de la même année, Albert Camus, qui en est le rédacteur en chef, propose la critique théâtrale du journal à Jacques Lemarchand dont il était devenu l’ami en le côtoyant dans les bureaux de la maison Gallimard. Certaines chroniques – dont Jacques Lemarchand n’était pas totalement satisfait – sont signées « Jean Maury », le pseudonyme utilisé par les journalistes de Combat. Jacques Lemarchand restera au journal jusqu’en 1950, bien après le départ d’Albert Camus.
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